Un glacier antarctique sous surveillance

La fonte des glaciers antarctiques pourrait faire monter le niveau de la mer de près d’un mètre d’ici à la fin du siècle. Le glacier de l’Astrolabe, situé dans le sud-est du continent, fait l’objet d’une surveillance continue depuis quatre ans grâce à un réseau de balises GPS qui mesure la vitesse de son écoulement vers l’océan.

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Crédits photos : CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ

<p>© NASA</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / Bruno JOURDAIN</p> <p>© IPEV / Emmanuel LE MEUR</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© CNRS Photothèque / IPEV / LGGE / Thibaut VERGOZ</p> <p>© IPEV</p>
A voir aussi :

photo-reportage "Antarctique, un laboratoire pour le monde" © Zeppelin :
"Coupés du monde en Antarctique, quelques dizaines d’hommes et de femmes travaillent en permanence sur les deux bases scientifiques de l’Institut polaire français (IPEV). Outre la base Dumont d’Urville, où les ornithologues se succèdent depuis sa création en 1959, le site de Concordia est devenu le paradis des glaciologues (ndlr : du LGGE) : ils peuvent prélever des carottes de glace renfermant un million d’années d’histoire climatique. C’est là aussi que l’ESA étudie les effets du confinement et du manque d’oxygène en vue des futures missions habitées sur Mars."

Cette actualité est également relayée par
 le journal du CNRS (source)
 EchoSciences

Mis à jour le 17 juillet 2018