L’OSUG en bref
L’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble est une structure fédérative assurant des missions d’observation, de recherche, de formation et de diffusion des savoirs. La fédération OSUG rassemble actuellement plus de 1300 membres, au sein de 8 unités, 5 équipes de recherche et 2 unités d’appui et de recherche, sous multi-tutelles sur les campus de Grenoble et Chambéry. L’OSUG œuvre dans tous des domaines des Sciences de l’Univers, de la Terre et de l’Environnement –de l’écologie alpine à l’astronomie en passant par la géophysique, l’hydrologie, la glaciologie et les sciences humaines (géographie, sociologie).
Carte d’identité
- Acronyme : OSUG
- Statut : Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU) et une école interne de l’Université Grenoble Alpes
- Date de création : 26 novembre 1985 (par le décret n° 85-1243)
- Localisation : majoritairement sur le domaine universitaire de Grenoble
- Membres : 8 unités de recherche (ISTerre, IPAG, IGE, LEGI, LECA, LESSEM, EDYTEM, CARRTEL), 5 équipes de recherche associées (FAME/ESRF, CEN/CNRM, Environnements/PACTE, SigmaPhy/Gipsa-Lab, LAME/LIPhy) et 2 unités d’appui et de recherche (UAR OSUG, Jardin du Lautaret) pour environ 1300 personnels
Secteur d’activité :
- Établissement public
- Disciplines : Sciences de l’Univers, de la Terre et de l’Environnement
- Missions : Observation, Recherche, Formation et Diffusion des connaissances (art 2 du décret du 27 juin 1985)
- Tutelles : UGA | CNRS | IRD | METEO-FRANCE | INRAE.
- Budget 1 M€/an [1]
Documents disponibles
Évaluation HCERES [2] : rapport d’évaluation.
Un peu d’histoire
Depuis sa fondation, l’Observatoire de Grenoble n’a cessé d’évoluer afin de répondre, en particulier, aux missions fondamentales que lui confère depuis 1985 (décret) son statut d’ "OSU" ; il regroupe progressivement plusieurs laboratoires et équipes de recherche et diverses activités liés au domaine des "Sciences de la Terre, de l’Univers et de l’Environnement".
En janvier 2011, l’Observatoire élargit son périmètre, avec les rattachements du LEGI, du LECA, de l’équipe LaMe du LIPhy. Alors que fusionnent deux à deux quatre de ses laboratoires membres : le LGIT et le LGCA deviennent l’ISTerre ; le LAOG et le LPG deviennent l’IPAG.
En juin 2013, les unités LESSEM et ETNA d’INRAE (ex centre Irstea de Grenoble), déjà associées à la communauté scientifique de l’OSUG au travers de nombreuses collaborations, rejoignent l’Observatoire, rejoint l’année suivante en juin 2014 par le Jardin du Lautaret.
Au 1er janvier 2017, le LTHE et le LGGE se regroupent pour donner naissance à l’IGE.
En octobre 2020 et janvier 2022, l’OSUG élargit son périmètre scientifique et géographique en intégrant deux nouvelles unités : le laboratoire Edytem, du Bourget-du-Lac et l’unité CARRTEL de Thonon-Les-Bains.
En janvier 2023, l’Institut des Géosciences de l’Environnement élargit son champ de recherche grâce à l’arrivée de l’unité Érosion Torrentielle Neige et Avalanche du centre INRAE Lyon Grenoble.
[1] La répartition budgétaire (postes de dépenses : fonctionnement et opérations des services communs, services d’observation, projets de recherche et d’enseignements) est votée annuellement par le Conseil.
[2] Autorité administrative indépendante, le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (anciennement AERES) est chargé de l’évaluation des établissements d’enseignement supérieur et de la recherche en France.