Vers un outil « low-cost » ALERTe sanitaire de pollution ATMOsphérique particulaire pour les métropoles du SUD : le cas de La Paz » (ALERT-ATMO-SUD)

Laboratoire(s)/équipe(s) du LabEx OSUG impliqué(e.s) : IGE, LFA
Porteur du projet : Gaëlle Uzu

Résumé

Grâce à des études de processus in vitro, on a pu montrer que les effets sanitaires des aérosols sont principalement attribués à leur potentiel inflammatoire via les espèces oxydantes qu’ils véhiculent. Des tests chimiques non invasifs du potentiel oxydant des particules, ont été
Développés dans des conditions d’exposition caractéristiques des pays développés. Peut-on-les utiliser en l’état dans des environnements urbains multi-sources où les teneurs en aérosols et leur composition chimique sont drastiquement différents ? C’est une question préalable à une évaluation plus systématique des effets sanitaires de la pollution atmosphérique. Nous souhaitons transférer cette méthodologie maitrisée au LTHE, à des problématiques "du Sud", telles que la pollution particulaire sévère de l’agglomération de La Paz/ El Alto (Bolivie), impliquant des mélanges particulaires de compositions très éloignées des grandes villes occidentales.

Soutien attribué en 2016 : 15 000 €

Bilan finaldu projet

Bilan

 
 
 
 

Mis à jour le 29 janvier 2018