Est-ce que notre échantillon est d’origine extraterrestre ? Quels sont les critères pour différencier une météorite d’une roche terrestre ?
Lionel Vacher, chercheur à l’IPAG, se prête à l’exercice en analysant un échantillon de roche encore inconnu...
Lionel Vacher est un chercheur (UGA) de l’Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (IPAG), l’un des laboratoires de la fédération OSUG.
Que se passe-t-il lorsque l’on observe la pluie à travers un radar ? Comment mesurer de manière précise la quantité de pluie qu’il tombe ? Pourquoi est-ce important ?
Du risque naturel à la gestion de la ressource en eau, mesurer avec exactitude la pluviométrie représente un défi majeur.
Brice Boudevillain, Physicien adjoint à l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble, rattaché à l’institut des géosciences de l’environnement (IGE - OSUG) fait le point sur la question ! (…)
Une récente étude menée par des glaciologues du CNRS-INSU, parmi lesquels des scientifiques de l’institut des géosciences de l’environnement (IGE - OSUG), a utilisé des images satellites Pléiades pour examiner l’évolution des glaciers du massif du Mont-Blanc au cours de l’année glaciologique 2021/2022. Les résultats révèlent un amincissement significatif à des altitudes élevées, dépassant 3,5 m par an au-dessus de 3 000 m d’altitude sur des glaciers tels que d’Argentière et la Mer de Glace.
Vendredi 8 décembre 2023, lors de la Journée mondiale du climat, les représentants de l’Université Grenoble Alpes, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de Grenoble Alpes Métropole étaient réunis pour inaugurer officiellement la Maison Climat Planète sur le campus de l’UGA.
Dédiée aux recherches numériques sur les climats du futur, les extrêmes hydro-météorologiques et les risques pour les sociétés, la Maison Climat Planète héberge une centaine de personnels de l’Institut des (…)
Le mouvement des rivières, des montagnes, des océans et des sédiments, à l’échelle des temps géologiques, est un élément central de l’évolution de la biodiversité sur Terre.
Au printemps, les glaciers alpins se teignent parfois d’une fine couche rouge ou orangée. Ce phénomène, connu sous le nom de "sang des glaciers", est dû à la pullulation d’une algue microscopique appelée Sanguina nivaloides. Des scientifiques du CNRS, du CEA, de Météo-France, d’INRAE, et de l’Université Grenoble Alpes se sont intéressés à cet organisme qui constitue le pilier d’un écosystème des neiges encore très peu connu. Leurs résultats viennent d’être publiés dans Nature Communications. (…)
Une nouvelle étude de l’Université Grenoble Alpes (UGA) impliquant des scientifiques du laboratoire d’écologie Alpine, un laboratoire membre de la fédération OSUG, de Swansea University (Royaume-Uni) et de Ghent University (Belgique) apporte des indices à grande échelle que le succès de la dispersion dans le passé à travers des barrières majeures n’était pas aléatoire, mais lié aux caractéristiques des espèces.
La dispersion à travers des barrières importantes, telles que les océans ou (…)
Un article récemment paru dans Nature, co-signé par 69 spécialistes des sciences de la durabilité, résume les idées rassemblées par le rapport de l’IPBES sur les différentes valeurs attribuées à la nature. Un des principaux auteurs de ce rapport et cosignataire de la publication, Ignacio Palomo, chercheur en sciences de l’environnement à l’institut des géosciences de l’environnement, un laboratoire membre de la fédération OSUG, répond aux questions d’IRD le Mag’ sur ces notions de valeurs de (…)
Des chercheurs de l’institut des géosciences de l’environnement, un laboratoire membre de la fédération OSUG, et des universités de Desarrollo (Chili), Genève et Grenoble Alpes ont mis au point une nouvelle méthode pour évaluer le risque lié aux chutes de blocs en montagne, en prenant en compte divers facteurs déclenchants et l’ensemble des enjeux exposés. Ils l’ont testée avec succès dans les Andes chiliennes. Leurs résultats montrent que cette méthode peut identifier les enjeux (vies (…)
Dans le top 150 du classement global paru en août dernier, l’Université Grenoble Alpes confirme sa place dans le classement de Shanghai 2023 en affichant de belles performances au classement thématique paru ce 27 octobre. Elle figure pour 13 disciplines dans le top 100 des meilleures universités mondiales dont 5 fois dans le top 50 et 2 fois dans le top 20. Elle est ainsi la 4e université française pour le nombre de disciplines classées dans le top 100.
Elle se positionne ainsi à la 8e place des meilleures universités mondiales en télédétection (1e en France) et 18e place (3e en France) en Sciences de la Terre, deux thématiques couvertes par les laboratoires de l’OSUG.