Afin de simuler l’impact du dépôt d’impuretés atmosphériques absorbant la lumière sur le comportement du manteau neigeux, des chercheurs du Centre national de recherches météorologiques et de l’Institut des géosciences de l’environnement ont mis au point un nouveau modèle.
Les forages profonds dans les calottes polaires permettent de reconstruire les variations climatiques et environnementales passées et ainsi de mieux comprendre le fonctionnement du système climatique. L’enregistrement glaciaire continu le plus vieux foré jusqu’à présent couvre les 800 000 dernières années, un record que les scientifiques aimeraient bien battre afin de pouvoir couvrir une transition climatique majeure survenue il y a environ un million d’années. Or, une équipe internationale (…)
Publié le 13 novembre 2017 Article publié par l’UGA
Le 23 octobre dernier, les tutelles et partenaires de l’Institut des Sciences de la Terre se sont réunis pour inaugurer le nouvel amphithéâtre Wilfrid Kilian. Un « cristal » situé au cœur du campus.
Financé par la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Grenoble-Alpes Métropole dans la cadre de l’Opération Campus "Climat-Planète", ce nouvel équipement répond au développement du l’Institut des Sciences de la Terre (ISTerre) ces 10 dernières années et à son dynamisme scientifique. Le nom du nouveau (…)
Une étude menée au Laboratoire d’Ecologie Alpine en partenariat avec le Parc National des Ecrins montre que les hautes montagnes de l’Oisans sont aujourd’hui davantage recouvertes de végétation qu’elles ne l’étaient il y a trente ans.
Des recherches mettent en lumière le rôle jusqu’ici peu connu des particules fines d’origine biologique dans la pollution atmosphérique. Certaines peuvent renforcer ou diminuer l’impact sanitaire des polluants chimiques. Leur prise en compte, dans l’évaluation de la qualité de l’air, s’impose. Les « bioaérosols » sont des polluants atmosphériques mésestimés. « Selon leur nature et leur concentration, les bactéries et champignons en suspension dans l’air peuvent atténuer ou accentuer la (…)
Dans l’industrie, la moitié des ruptures mécaniques des systèmes sont dues à des ruptures de fatigue, causées par l’effet cumulatif de sollicitations mécaniques cycliques. Celles-ci résultent de la propagation de fissures qui sont particulièrement difficiles à déceler car elles n’entrainent pas de modification apparente des propriétés des matériaux et aujourd’hui, seuls des outils d’analyse globale de la matière tentent de détecter ces microfissures.
Des chercheurs du CNRS et de l’INSA (…)
Le lancement de la fête de la science en Isère s’est déroulé le 5 octobre 2017 au laboratoire des Écoulements Géophysiques et Industriels (LEGI/OSUG, CNRS-UGA-Grenoble INP). Organisée et coordonnée par La Casemate, la fête de la science a lieu du 7 au 15 octobre. Pour cette 26e édition dont le thème principal est celui des idées reçues, de nombreux laboratoires se mobilisent pour faire découvrir la science au grand public.
À l’occasion du lancement de la fête de la science, le LEGI a eu (…)
Une équipe franco-péruvienne, comprenant des chercheurs de l’Institut des géosciences de l’environnement (IGE/OSUG, CNRS / IRD / UGA / INPG), du laboratoire Géosciences Rennes (Géosciences Rennes/OSUR, CNRDS / Université Rennes 1) et du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP, UPS / CNRS / IRD / CNES / BRGM), vient de montrer que l’érosion des Andes occidentales proches de l’Équateur est induite, pour l’essentiel, par les événements El Niño extrêmes. Dans ce contexte, quel (…)
Grâce à une récolte de données inédites, une équipe de chercheurs de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), du Laboratoire de météorologie dynamique (LMD/IPSL, CNRS / École Polytechnique / UPMC / ENS Paris / École des ponts Paristech), de l’Institut des géosciences de l’environnement (IGE/OSUG, CNRS / IRD / UGA / INPG) et du European centre for medium-range weather forecasts (ECMWF) a observé et expliqué une diminution significative des précipitations neigeuses à proximité du sol (…)
Une équipe de l’Institut des géosciences de l’environnement (IGE/OSUG, CNRS / IRD / UGA / INPG) a mesuré le potentiel oxydant, métrique de l’exposition aux particules atmosphériques qui sont responsables de pathologies cardio-pulmonaires, après que celles-ci aient été extraites de fluides pulmonaires artificiels. Leurs résultats indiquent que l’extraction dans l’eau des particules, technique largement utilisée jusqu’à présent pour mesurer ce pouvoir oxydant, tend à le surestimer.
La (…)