Le premier à avoir imaginé, pensé, organisé et tenté de réaliser un raid terrestre sur le continent Antarctique est l’incroyable explorateur britannique Ernest Henry Shackleton. Entre le 23 novembre 2019 et le 5 février 2020, une équipe scientifique s’y est risquée, à l’occasion du raid East Antarctic International Ice Sheet Traverse (EAIIST).
Depuis son lancement en juin 2017, 42 chercheurs ont été sélectionnés pour rejoindre le programme Make Our Planet Great Again. Parmi eux, Ignacio Palomo, chercheur CNRS accueilli au Laboratoire d’écologie alpine (LECA – UMR CNRS-UGA-USMB) et coordinateur du projet PORTAL, Pathways of Transformation in the Alps qui vise à identifier dans les Alpes des solutions transformatives fondées sur la nature pour faire face au changement climatique. Une des premières études liées au projet et aux travaux de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a été publiée en décembre dernier dans la revue PNAS. Elle met en évidence la nécessité d’intégrer les enjeux liés au changement climatique dans le cadre des Objectifs pour la Biodiversité, programmés à l’horizon 2030.
Depuis la fin du mois de juillet, l’ensemble de la région sahélienne est touché par des inondations d’une ampleur inhabituelle, de la côte Atlantique jusqu’à l’Éthiopie et la Somalie. Elles ont frappé indifféremment les villes et les campagnes, mais c’est naturellement dans les premières que les victimes sont les plus nombreuses, à la fois du fait de la concentration des populations, de l’imperméabilisation des sols et de lacunes dans la planification urbaine.
Nulle région au monde n’est à (…)
DEEPICE : un programme de formation visant à former une nouvelle génération d’étudiants européens sur les questions scientifiques liées au changement climatique en Antarctique.
Le Conseil européen de la recherche (ERC) a annoncé, le mercredi 9 décembre 2020, les lauréats des ERC Consolidator Grants 2020. Les ERC sont des marqueurs forts de l’excellence de la recherche. Cette année une chercheuse de l’OSUG a été retenue pour un financement : Myriam Benisty de l’IPAG.
Des équipes internationales impliquant des chercheur.se.s de l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG/OSUG, CNRS/UGA) vont participer aux toutes premières analyses des fragments de l’astéroïde Ryugu ramenés par la sonde Hayabusa2.
Une équipe d’astronomes français, allemands et italiens menée par Sibylle Anderl et Sébastien Maret de Université Grenoble Alpes et CNRS ont utilisé l’observatoire NOEMA pour mesurer l’émission moléculaire autour d’IRAM 04191 une proto-étoile très jeune.