Depuis la fin du mois de juillet, l’ensemble de la région sahélienne est touché par des inondations d’une ampleur inhabituelle, de la côte Atlantique jusqu’à l’Éthiopie et la Somalie. Elles ont frappé indifféremment les villes et les campagnes, mais c’est naturellement dans les premières que les victimes sont les plus nombreuses, à la fois du fait de la concentration des populations, de l’imperméabilisation des sols et de lacunes dans la planification urbaine.
Nulle région au monde n’est à (…)
DEEPICE : un programme de formation visant à former une nouvelle génération d’étudiants européens sur les questions scientifiques liées au changement climatique en Antarctique.
Le Conseil européen de la recherche (ERC) a annoncé, le mercredi 9 décembre 2020, les lauréats des ERC Consolidator Grants 2020. Les ERC sont des marqueurs forts de l’excellence de la recherche. Cette année une chercheuse de l’OSUG a été retenue pour un financement : Myriam Benisty de l’IPAG.
Des équipes internationales impliquant des chercheur.se.s de l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG/OSUG, CNRS/UGA) vont participer aux toutes premières analyses des fragments de l’astéroïde Ryugu ramenés par la sonde Hayabusa2.
Une équipe d’astronomes français, allemands et italiens menée par Sibylle Anderl et Sébastien Maret de Université Grenoble Alpes et CNRS ont utilisé l’observatoire NOEMA pour mesurer l’émission moléculaire autour d’IRAM 04191 une proto-étoile très jeune.
Cet article est publié dans le cadre de la Fête de la science 2020 (du 2 au 12 octobre 2020 en métropole et du 6 au 16 novembre en Corse, en outre-mer et à l’international) dont The Conversation France est partenaire. Cette nouvelle édition a pour thème : « Planète Nature ». Retrouvez tous les événements de votre région sur le site Fetedelascience.fr
Au cœur du milieu interstellaire, à très basse température, molécules d’eau et d’hydrogène entrent régulièrement en collisions dites « inélastiques ». Pour mieux les comprendre, des chercheurs du Laboratoire Aimé Cotton, de l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble et de l’Institut des Sciences Moléculaires ont étudié théoriquement et observé expérimentalement des collisions dans des conditions proches de celles de ces milieux.