Over 99% of terrestrial ice is bound up in the ice sheets covering Antarctic and Greenland. Even partial melting of this ice due to climate change will significantly contribute to sea level rise. But how much exactly? For the first time ever, glaciologists, oceanographers, and climatologists from 13 countries have teamed up to make new projections.
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Articles
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How much will polar ice sheets add to sea level rise?
17 September 2020, by Chargée de communication -
Modéliser l’effet de parcs de turbines sous-marines sur les grands courants océaniques
18 mars 2020Des parcs de turbines sous-marines pour produire de l’électricité à partir de l’énergie des grands courants marins : l’idée est intéressante ! Mais avant de concevoir et réaliser les développements technologiques nécessaires à la conception de tels parcs et à leur installation, il s’agit d’identifier les sites les plus favorables et d’en évaluer l’énergie récupérable. À partir de simulations numériques, les chercheurs d’une collaboration internationale , impliquant l’Institut des géosciences (…)
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2220 : quel climat et quelle civilisation ? Une exagération poétique, sensible et scientifique
8 janvier 2020Cet événement est proposée par Laurence Druon et Heiko Buchholz du Collectif Un euro ne fait pas le printemps, campus St Martin d’Hères Horaire : 12h30 Entrée libre dans la mesure des places disponibles
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La glace du Groenland, mémoire des changements climatiques du passé
8 avril 2021Les carottes de glace forées aux pôles recèlent d’informations sur le climat et l’environnement du passé. Des échantillons prélevés au Groenland ont notamment permis d’identifier 25 changements climatiques abrupts ayant eu lieu au cours de la dernière période glaciaire. Leur étude permet de mieux anticiper les impacts qu’auraient de tels changements sur notre environnement s’ils venaient à se produire dans le futur.
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Augmentation des précipitations intenses dans les Alpes au cours du dernier siècle
6 janvier 2021Des travaux confirmant l’importance de disposer de données météorologiques couvrant de longues périodes pour étudier le climat.
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L’évolution paradoxale des glaciers de très haute altitude dans le massif du Mont-Blanc
17 avril 2020Les études glaciologiques conduites depuis 25 ans, par des chercheurs de l’Institut des géosciences de l’environnement (IGE
Contact scientifique local Christian Vincent - [IGE->http://www.ige-grenoble.fr / OSUG - christian.vincent univ-grenoble-alpes.fr -
Glaciers groenlandais et niveau de la mer
19 novembre 2020Trois glaciers groenlandais pourraient à eux seuls faire monter le niveau global des mers de 1.3m si ils venaient à fondre.
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Augmentation du brome dans la glace du mont Blanc
12 avril 2021Le brome est un composé mineur de notre atmosphère mais il est un agent efficace pour détruire en partie l’ozone présent dans les basses couches de l’atmosphère. Par là même, et au même titre que l’iode et le chlore, il compense partiellement la pollution à l’ozone causée par les émissions croissantes d’oxydes d’azote et d’hydrocarbures par les moteurs. Les simulations de l’ozone troposphérique et son évolution depuis la période préindustrielle nécessitent donc de connaître les émissions passées de brome. Les mesures des composés bromés dans l’atmosphère, quand elles existent, documentent au mieux les dernières décennies.
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An ancient age for the first known impact crater under the Greenland Ice Sheet
11 March 2022, by Chargé de communicationScientists have precisely dated the Hiawatha impact crater, the first known impact crater buried under the Greenland Ice Sheet to 58 million years old – just a few million years younger than the impact that killed off the dinosaurs. The work (involving scientists from IGE & IPAG) led by researchers at the Swedish Museum of Natural History, the Natural History Museum of Denmark, and the Globe Institute University of Copenhagen overturns previous suggestions that the impact may have (…)
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Particules fines : le potentiel oxydant, indicateur de leur nocivité
27 janvier 2023, par Chargée de communicationEn matière d’effets sur la santé, la taille et la quantité des particules fines ne font pas tout. Leur réactivité doit aussi être prise en compte. Deux nouvelles études réalisées par des scientifiques de l’IRD et de l’Inserm à l’université Grenoble Alpes viennent en effet confirmer l’utilité de caractériser le potentiel oxydant des particules fines pour évaluer leur impact sur la santé de nouveau-nés et d’enfants en bas âge.
La pollution de l’air nous concerne tous. 99 % de la population (…)